Dans une interview au New York Times ce mardi, le nouveau président américain a avoué qu’il aimerait «être celui qui fera la paix entre Israël et les Palestiniens»
La paix s’obtient à partir du moment où l’on prend conscience que lorsqu’il y a des récits nationaux en concurrence, il n’y a pas un qui gagne et un qui perd.
Son expérience d’ancien chef du Haut-Commissariat pour les réfugiés (UNHCR) de 2005 à 2015 pourrait être un véritable atout, au moment où le monde fait face à la pire des crises humanitaires depuis la Seconde Guerre mondiale.
Depuis quelques semaines, les directions prises par la diplomatie internationale au Proche-Orient, la position française en particulier, suscitent de nombreuses inquiétudes.