L’Etat hébreu tente d’éviter une propagation du mouvement, alors que près de 6 200 « détenus de sécurité » sont enfermés. Huit jours après son lancement, le mouvement de
Les actes terroristes ne peuvent plus être considérés comme des épiphénomènes et être combattus comme tels, c’est-à-dire avec des « épi-mesures-d’urgence » (des militaires partout pendant quelques mois par exemple, et puis plus rien). L’heure est sans doute à repenser profondément notre système de défense anti-terroriste…