Résolution de l’AGNU 2022/2023 : Israël au banc des accusés

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INTRODUCTION

Alors que se tient actuellement la 77e session de l’Assemblée générale des Nations unies (2022-2023), Israël se retrouve une fois encore, une fois de trop, sur le banc des accusés, convoqué injustement devant le tribunal des nations.

C’est à une mascarade du double standard, au nom de la « cause palestinienne » dévoyée que nous assistons chaque année. Israël est condamné pour tout et n’importe quoi, plus que toutes les autres nations du monde confondues. Ainsi, la démocratie israélienne est diabolisée et délégitimée par une majorité automatique de pays autoritaires, de dictatures qui bafouent honteusement les droits de l’homme les plus fondamentaux, sans jamais ou presque, être inquiétés et ce dans le mépris absolu du droit international qui est instrumentalisé pour faire de l’Etat Juif, le Juif des nations.

On pourrait s’attendre à ce que les États membres de l’UE ne votent pas ces résolutions biaisées et scélérates qui sont contraires à leurs valeurs pour se concentrer sur la situation des pays liberticides comme l’Iran, la Syrie, la Corée du Nord, Myanmar, ou encore la Chine…

Non, au lieu de cela, ils ont choisi de voter, aux côtés de ceux qu’ils prétendent combattre, en faveur de la quasi-totalité des résolutions ciblant Israël, qu’ils devraient défendre et soutenir.

Ce document résume et analyse les principales résolutions votées fin octobre et début novembre à l’AGNU et présente les prochaines qui seront soumises dans quelques jours.
Sur les 10 résolutions déjà votées, la France a voté pour à 8 reprises et s’est abstenue à deux reprises seulement. Il est à noter que la France n’a jamais voté contre une résolution anti-israélienne. Il n’y a à cela aucune explication rationnelle car les 2 pays sont pourtant amis et alliés…

On ne fera pas avancer la cause de la paix et des valeurs universelles en encourageant ceux qui, à l’instar des dirigeants corrompus de l’Autorité Palestinienne, promeuvent la haine, la guerre, le séparatisme, l’intégrisme et le terrorisme.

Cette compromission ne peut plus durer. Il en va de notre crédibilité, de l’avenir de l’Europe, de sa sécurité face à la Russie alliée de l’Iran, mais aussi de son influence au Moyen-Orient et en Méditerranée.

Le détail des résolutions énoncées ci-dessous a été obtenu grâce au travail remarquable de l’organisation UN Watch qui se donne pour mission « d’assurer que l’ONU respecte sa propre Charte et que les Droits de l’Homme soient accessibles et respectés par et pour tous ».


I. Résolutions votées

  • « Le Golan syrien occupé » [A/C.4/77/L.13]

              Vote du 4e comité (11 nov. 2022)

  • 148 oui
  • 3 non (Israël, Libéria et États-Unis)
  • 22 abstentions

Vote de la France : favorable

« Décide que toutes les mesures et actions législatives et administratives prises ou à prendre par Israël, la puissance occupante, qui visent à modifier le caractère et le statut juridique du Golan syrien occupé sont nulles et non avenues… »

Cette résolution semble ignorer l’existence de la guerre civile syrienne et ses implications en matière de sécurité pour Israël et les civils des hauteurs du Golan. Elle ignore également l’histoire de la Syrie en matière de bombardements de communautés israéliennes, les appels de son chef à une « guerre d’anéantissement » contre Israël et l’agression de la Syrie en 1967 qui a conduit à sa perte du territoire.

Par ailleurs, la résolution prétend à tort qu’Israël opprime et impose la citoyenneté israélienne à la population arabe des hauteurs du Golan.


  • « Colonies israéliennes dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et le Golan syrien occupé » [A/C.4/77/L.14]

Vote du 4e comité (11 nov. 2022)

  • 150 oui
  • 8 non (Canada, Hongrie, Israël, Libéria, Îles Marshall, États fédérés de Micronésie, Nauru et États-Unis)
  • 14 abstentions

Vote de la France : favorable

« Réaffirme que les colonies de peuplement israéliennes dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et dans le Golan syrien occupé sont illégales et constituent un obstacle à la paix et au développement économique et social… »

Cette résolution adopte le narratif palestinien sur les questions que les accords d’Oslo ont laissées aux négociations, telles que les « colonies » et les frontières. Elle s’autorise  des déclarations juridiques radicales sur des questions litigieuses, comme celle qui accuse Israël de violer le droit international pour avoir ordonné la démolition de structures construites illégalement sur un territoire sur lequel il exerce un contrôle administratif. La résolution établit une équivalence immorale entre la terreur et la violence palestiniennes et les contre-mesures israéliennes, et condamne spécifiquement l’incitation des « colons israéliens », feignant d’ignorer l’incitation à la haine et au terrorisme prodiguée dès le plus jeune âge chez les Palestiniens.


  • « Assistance aux réfugiés palestiniens » [A/C.4/77/L.10]

              Vote du 4e comité (11 nov. 2022)

  • 165 oui
  • 1 non (Israël)
  • 10 abstentions

Vote de la France : favorable

« Exprimant sa profonde préoccupation face à la situation particulièrement difficile des réfugiés palestiniens sous occupation, notamment en ce qui concerne leur sécurité, leur bien-être et leurs conditions de vie socio-économiques… »

La résolution sert les États arabes qui cherchent à préserver les Palestiniens dans une campagne politique de délégitimation d’Israël. Elle omet toute référence à la discrimination du Liban envers les réfugiés palestiniens considérés comme des citoyens de seconde zone.


 

  • « Opérations de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient » [A/C.4/77/L.9]

              Vote du 4e comité (11 nov. 2022)

  • 164 oui
  • 6 non (Canada, Israël, Libéria, Îles Marshall, Micronésie et États-Unis)
  • 5 abstentions

Vote de la France : favorable

« Réitère son appel à Israël pour qu’il lève complètement les restrictions qui entravent ou retardent l’importation des matériaux de construction et des fournitures nécessaires à la  reconstruction et à la réparation des abris de réfugiés endommagés ou détruits restants, et à la mise en œuvre des projets d’infrastructure civile suspendus et nécessaires de toute urgence dans les camps de réfugiés dans la bande de Gaza…»

Cette résolution diffuse et perpétue l’idée selon laquelle les Palestiniens sont les seules personnes non desservies par le HCR mais plutôt par une agence spéciale. Elle condamne unilatéralement les actions israéliennes, mais demeure silencieuse sur le terrorisme palestinien contre les Israéliens et les abus des forces palestiniennes contre leurs propres citoyens. La résolution omet d’évoquer l’utilisation par le Hamas de matériaux pour construire des tunnels d’attaque et d’autres infrastructures terroristes.


  • « Les biens des réfugiés palestiniens et leurs revenus » [A/C.4/77/L.11]

              Vote du 4e comité (11 nov. 2022)

  • 160 oui
  • 7 non (Canada, Israël, Libéria, Îles Marshall, Micronésie, Nauru et États-Unis)
  • 7 abstentions

Vote de la France : favorable

« Réaffirme que les réfugiés palestiniens ont droit à leurs biens et aux revenus qui en découlent, conformément aux principes d’équité et de justice… »

Cette résolution unilatérale ignore les revendications de 900 000 réfugiés juifs déplacés des terres arabes. Elle répète les déclarations précédemment établies dans le but de censurer Israël et fait double emploi avec d’autres résolutions. Elle préjuge des négociations.


  • « Pratiques israéliennes affectant les droits de l’homme du peuple palestinien dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est » [A/C.4/77/L.12]

              Vote du 4e comité (11 nov. 2022)

  • 98 oui
  • 17 non (y compris l’Australie, le Canada, l’Allemagne, Israël et les États-Unis)
  • 52 abstentions

Vote de la France : abstention

« Gravement préoccupé par les tensions et la violence de la période récente dans tout le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est et notamment en ce qui concerne les lieux saints de Jérusalem, y compris le Haram al-Sharif, et déplorant la perte de vies civiles innocentes… »

« Décide, conformément à l’article 96 de la Charte des Nations Unies Nations Unies, de demander à la Cour internationale de Justice, conformément à l’article 65 du Statut de la Cour, de rendre d’urgence un avis consultatif sur les questions suivantes…

  1. a) Quelles sont les conséquences juridiques découlant de la violation continue par Israël du droit du peuple palestinien à l’autodétermination, depuis sa longue Occupation…?
  2. b) Comment les politiques et pratiques d’Israël visées au paragraphe 18 a) ci-dessus affectent le statut juridique de la profession…? »

Cette résolution prétend ignorer les attaques terroristes contre des civils israéliens, les qualifiant uniquement de « tensions et de violence » dans le « Territoire palestinien occupé ». Elle cherche également à dépouiller Israël de son droit inhérent à l’autodéfense en qualifiant toute mesure défensive de violation du droit international. De plus, elle se réfère au Mont du Temple à Jérusalem uniquement par son nom islamique, « Haram al-Sharif » et demande à la Cour internationale de Justice (CIJ) de donner un avis consultatif sur la légalité de l’occupation.


  • « Le risque de prolifération nucléaire au Moyen-Orient » [A/C.1/77/L.2]

              1er vote du comité (28 octobre 2022)

  • 152 oui
  • 5 non (Canada, Israël, Micronésie, Palau et États-Unis)
  • 24 abstentions

Vote de la France : abstention

« Rappelant qu’Israël reste le seul État du Moyen-Orient qui n’est pas encore devenu partie au Traité… »

La résolution pointe du doigt Israël tout en ignorant les actions menaçantes d’autres États, y compris les efforts illégaux de l’Iran pour acquérir des armes nucléaires au mépris du Conseil de sécurité et Résolutions de l’AIEA. Elle ignore les menaces manifestes et répétées contre l’existence d’Israël par les États voisins de la région.


  • « Marée noire sur les côtes libanaises » [A/C.2/77/L.20]

              Vote de la 2e Commission (10 nov. 2022)

  • 150 oui
  • 8 non (Australie, Canada, Israël, Îles Marshall, Micronésie, Nauru, Palau et États-Unis)
  • 5 abstentions

Vote de la France : favorable

« Réitère, pour la dix-septième année consécutive, sa profonde préoccupation quant aux conséquences néfastes de la destruction par l’armée de l’air israélienne des réservoirs de stockage de pétrole à proximité directe de la centrale électrique libanaise de Jiyeh pour la réalisation du développement durable au Liban… »

Cette résolution unilatérale feint d’ignorer le rôle du Hezbollah dans le lancement des hostilités, le tir de 4 000 roquettes et l’incendie de 500 000 arbres dans le nord d’Israël. Elle ignore le non-respect par le Liban des résolutions du Conseil de Sécurité sur le démantèlement du Hezbollah.


  • « Souveraineté permanente du peuple palestinien dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et de la population arabe dans le Golan syrien occupé sur leurs ressources naturelles » [A/C.2/77/L.14]

              Vote de la 2e Commission (10 nov. 2022)

  • 151 oui
  • 7 non (Canada, Israël, Îles Marshall, Micronésie, Nauru, Palau et États-Unis)
  • 10 abstentions

Vote de la France : favorable

« Exprimant également sa grave préoccupation face à la destruction généralisée causée par Israël, la puissance occupante, des infrastructures vitales, y compris les canalisations d’eau, les réseaux d’égouts et les réseaux électriques, dans le territoire palestinien occupé…»

Cette résolution unilatérale nie le droit d’Israël à l’autodéfense en décrivant chaque mesure préventive comme un complot contre les ressources palestiniennes. Elle omet de mentionner le terrorisme palestinien et les dommages qu’il cause aux ressources naturelles, comme la destruction des serres de Gaza livrées intactes par Israël ; la réquisition par le Hamas de l’aide internationale pour financer la construction de tunnels terroristes plutôt que pour reconstruire les infrastructures détruites ; la pollution de l’environnement causée par la combustion des pneus palestiniens ; la destruction de la flore et de la faune avec des ballons et des cerfs-volants incendiaires ; et le refus de développer leurs propres ressources en eau comme l’exigent les accords d’Oslo


  • « Le droit du peuple palestinien à l’autodétermination » [A/C.3/77/L.50]

              Vote de la 3e Commission (17 nov. 2022)

  • 167 Oui
  • 5 Non (Israël, Îles Marshall, Micronésie, Nauru et États-Unis)
  • 7 Abstentions

Vote de la France : favorable

« Rappelant la conclusion de la Cour, dans son avis consultatif du 9 juillet 2004, selon laquelle la construction du mur par Israël, puissance occupante, dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, ainsi que les mesures prises précédemment, entravent gravement le droit du peuple palestinien à l’autodétermination… »

Cette résolution affirme de manière redondante un principe qu’Israël a déjà reconnu et omet de rappeler l’obligation palestinienne de démanteler son infrastructure terroriste avant la création d’un État.


II. Résolutions en attente

  • « Assistance au peuple palestinien » 

« Conscients que le développement est difficile sous occupation et qu’il est mieux promu dans des circonstances de paix et de stabilité. Notant les grands défis économiques et sociaux auxquels sont confrontés le peuple palestinien et ses dirigeants… »

Cette résolution est plus équilibrée que les autres textes anti-israéliens. Cependant, ses références sur la difficulté de « l’occupation » pour les Palestiniens impliquent indirectement Israël. Aucun autre territoire « occupé » ou «disputé dans le monde ne fait l’objet d’une résolution annuelle de ce type, ce qui en fait une critique unique d’Israël.


  • « Règlement pacifique de la question de la Palestine » 

« Réaffirmant l’illégalité des activités de colonisation israélienne et de toutes les autres mesures unilatérales visant à modifier la composition démographique, le caractère et le statut de la ville de Jérusalem et du territoire palestinien occupé dans son ensemble, y compris le mur et le régime qui lui est associé, et exigeant leur cessation immédiate, et condamnant tout recours à la force contre les civils palestiniens en violation du droit international, notamment les enfants. »

Seul Israël est blâmé pour l’échec du processus de paix. Le texte est redondant et reprend autres résolutions. Il n’a pour objectif que de diaboliser l’Etat hébreu.


  • « Le Golan syrien » 

« Profondément préoccupés par le fait qu’Israël ne s’est pas retiré du Golan syrien, qui est sous occupation depuis 1967… »

Cette résolution fait écho à la résolution A/C.4/76/L.8 sur « le Golan syrien occupé ». Elle ne tient pas compte des massacres qui se déroulent actuellement en Syrie et de leurs implications en matière de sécurité pour Israël et les civils du plateau du Golan. Elle ignore les antécédents de la Syrie en matière de bombardements des communautés israéliennes, les appels de son dirigeant à une « guerre d’anéantissement » contre Israël, et l’agression de la Syrie en 1967 qui a conduit à la perte de son territoire. Elle demande en outre à Israël de négocier avec la Syrie et le Liban, sans faire la même demande à ces deux pays.

 


  • « Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien »

 « Notant avec un profond regret que 52 ans se sont écoulés depuis le début de l’occupation israélienne et plus de 70 ans depuis l’adoption de la résolution 181 (II) le 29 novembre 1947 et la Nakba, sans que des progrès tangibles aient été accomplis vers une solution pacifique… »

Ce comité partial est l’un des piliers de l’infrastructure anti-israélienne de l’ONU. C’est le seul comité des droits de l’homme de l’Assemblée générale qui se consacre à une seule cause. Ses rapports ferment systématiquement les yeux sur le terrorisme palestinien contre les civils israéliens. Le mandat du comité ne concerne que les actions israéliennes et il est intrinsèquement biaisé et partial.


  • « Division des droits des Palestiniens du Secrétariat » 

« Demande à la Division, en particulier, de continuer à suivre l’évolution de la situation concernant la question de Palestine, d’organiser des réunions et des activités internationales à l’appui du mandat du Comité […] d’assurer la liaison et de coopérer avec la société civile et les parlementaires, notamment par l’intermédiaire du Groupe de travail du Comité, de développer et d’élargir le site Web « Question de Palestine » […] ».

La DPR sert le comité spécial partial et se consacre à la diffusion de la propagande anti-israélienne dans le monde entier. Son personnel de 16 membres est tout à fait disproportionné par rapport aux quatre autres divisions de l’ONU qui couvrent d’énormes régions géographiques. Le travail de la DPR est contre-productif pour le processus de paix et cherche à coordonner les boycotts internationaux contre Israël au lieu de chercher des ponts pour la paix. Elle exclut de ses événements toute ONG qui refuse de prêter serment de fidélité à sa politique intransigeante.


  • « Programme spécial d’information sur la question de Palestine du Département de l’information publique du Secrétariat »

«Rappelant l’avis consultatif rendu le 9 juillet 2004 par la Cour internationale de Justice sur les conséquences juridiques de la construction d’un mur dans le territoire palestinien occupé… »

Ce programme illustre la façon dont le Secrétariat de l’ONU est coopté par les forces anti-israéliennes à l’ONU. Il écarte toute approche équilibrée en privilégiant le récit palestinien au récit israélien, ignorant le terrorisme à l’encontre des Israéliens et d’autres réalités quotidiennes de la vie israélienne.

CONCLUSION

Nous ne sommes évidemment pas naïfs et nous savons que l’ONU est le lieu où s’orchestrent les grands déséquilibres d’un monde où règnent le mensonge et la corruption. Une organisation où les démocraties sont minoritaires et hélas trop souvent complaisantes avec les dictatures et les régimes autoritaires au nom de la realpolitik. Pour autant, nous savons aussi que dans le monde de l’absurde, l’humanité est amenée à s’effacer et parfois à disparaître. La haine des Juifs qui explose partout en dit long sur l’état de nos sociétés. La détestation d’Israël est le symbole du naufrage des institutions et du droit international.

La montée des partis extrémistes et le retour de la guerre en Europe, conjuguée avec une multitude de crises globales, devraient pourtant donner à réfléchir aux démocraties qui sont plus que jamais sur la sellette.

Ceux qui veulent se convaincre que le petit Etat d’Israël est le problème se trompent lourdement et veulent entraîner le monde dans le chaos. L’Europe n’a pas de meilleur allié : il partage ses valeurs, des intérêts stratégiques et des ennemis communs.

Il est temps de jouer carte sur table en choisissant d’encourager les Accords d’Abraham, qui offrent un nouveau paradigme de résolution des conflits basé sur l’intelligence, la coopération, les synergies et la réconciliation.
La paix est possible, y compris avec les Palestiniens qui doivent renoncer à leurs fantasmes et leurs illusions pour chercher à bâtir une solution, et l’Europe, Israël et les pays arabes ont beaucoup à apporter.

Mais tant qu’Israël sera accablée dans les instances internationales, il sera impossible d’obtenir la justice, qui seule permet la manifestation de la vérité pour créer les conditions de la paix durable.